Depuis 2005, un certain nombre de riverains d’une grosse antenne TDF ont observé une corrélation entre la survenue de malaises (maux de tête, nausées, vertiges, sommeil perturbé...) et l’installation de nouveaux éléments sur cette antenne.
La municipalité précédente a pris en compte nos inquiétudes et nous a soutenus en nous aidant à financer en partie des mesures et en tentant de négocier - sans succès- le déplacement de cette grande anenne en offrant un autre terrain.
Nous organisons aujourd’hui une réunion -où Priartem sera représenté par le physicien Daniel Oberhausen- car cette antenne devrait être équipée prochainement de nouveaux blocs de 3e génération (UMTS).

Il y avait eu soi-disant une réunion de concertation/information le 27 juin. Ces messieurs d’Orange étaient descendus de Paris, et le conseil municipal occupait une bonne partie des sièges. Les pétitions signées et les panneaux installés par les riverains avaient clairement montré leur désaccord avec l’installation d’un pylône dans un trou, en face de leurs fenêtres.

Est-ce en signe de "bonne conduite" issue d’une quelconque "charte" qui n’engage à rien que les riverains ont eu droit à l’arrivée de la bétonnière ?

Position du « Groupement de Riverains du Quartier du Tremblay » sur la proposition de « Charte de la téléphonie GSM dans Champigny » présentée par Monsieur LECUYER, Président de la Commission « Antennes ».

Cette lettre est adressée à Monsieur le Maire de Champigny, Dominique ADENOT, en lui demandant sa position sur cette affaire.

Les 2 associations : AIDPRANE et ADP mobilisent les riverains contre le projet présenté par la mairie.

"La Buissière en danger", mais non, ce n’est pas fini puisque SFR projette d’installer une antenne-relais au 97 bd Emile zola à proximité d’une école !

Le collectif du Plomb a appris du Syndicat des Eaux local que celui-ci avait demandé à l’opérateur Orange un site alternatif afin de déplacer l’antenne-actuelle située à 70 m des premières maisons d’habitation.

Quand une fois de plus c’est la justice qui vient au secours des riverains alors que les autorités publiques se contentent d’attendre !

La Cour d’Appel de Versailles vient de confirmer le jugement de première instance rendu par le TGI de Nanterre en octobre 2008 en condamnant l’opérateur Bouygues-Télécom, au nom du principe de précaution, à démonter son pylône, situé à quelques dizaines de mètres des riverains les plus proches, à Tassin la Demi-lune. Ceux-ci, adhérents de Priartem, inquiets pour leur santé et celle de leurs enfants avaient fait valoir, devant la justice, leur droit à l’application du principe de précaution face à une pollution nouvelle autour de laquelle existe une forte controverse scientifique.

Quand une fois de plus c’est la justice qui vient au secours des riverains alors que les autorités publiques se contentent d’attendre !